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Après avoir vu comment on détermine les espèces du genre Usnea, on a décrit et déterminé plusieurs lichens communs.
Nous avons terminé la détermination des Cladonias apportés par Murielle, puis décrit et déterminé diverses espèces de lichens communs.
CR de la séance du 9 avril 2025
Aujourd’hui nous avons cherché à comprendre la structure d’un lichen avec des coupes d’Usnea puis de Xanthoria parietina (mais finalement certaines photos sur Internet sont bien meilleures que les nôtres !) puis nous avons testé nos réactifs pour déterminer deux des Cladonia apportés la semaine dernière par Murielle.
Dans le cadre de l’initiation aux lichens, après la sortie (sous la pluie) du 15 mars, cette première séance au labo a permis de revoir des thalles fruticuleux, foliacé, crustacé et composite et d’examiner à la loupe binoculaire certains détails.
photo ©Alain Bénard
Nombreuses espèces de lichens sur un simple morceau de branche. Françoise Drouard à droite mais cachée, expliquait ; ©Photo Ludivine Pinagot
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Le samedi 15 mars, nous avons organisée une sortie sous la houlette de Françoise Drouard intitulée : « À la découverte des lichens ».
Françoise nous a expliqué ce qu’était un lichen, entité étrange résultant d’une symbiose entre un champignon et une algue et, nous le savons maintenant, avec aussi une multitude de bactéries.
Les lichens poussent sur des rochers (saxicoles), la terre (terricoles), les arbres (corticoles). Ils peuvent être foliacés, crustacés, fruticuleux, squamuleux, fruticuleux ou encore gélatineux en fonction de la forme du thalle.
Comme vous pouvez le voir sur la photo de gauche auprès du Tilleul, la météo aurait pu être meilleure et nous avons écourté un peu notre sortie.
Mais le compte-rendu détaillé de Françoise montre que nous avons quand même pu découvrir cet univers si particulier et passionnant.
Merci à Ludivine Pinagot (qui a fourni les photos) et à Sophie Laurent de nous avoir accompagnés. Ça a été l’occasion de parler du sentier botanique et des panneaux installés (informations ici)
Séance faite à distance (par courriel, téléphone et visioconférence)
1er envoi de FD à AB, AM et JMS :
« J’ai récolté pour vous des lichens dans le 04 (commune d’Aubignosc – forêt du Prieuré) : a priori ils peuvent se déterminer à l’œil nu ou à la loupe à main (indice de déterminabilité 1- 2) mais vous n’aurez que des photos ! Et en principe les espèces concernées existent aussi dans le 74, même si on ne les a pas encore tous récoltés dans nos sorties.
Ce sont des lichens terricoles et muscicoles de tonsure de pelouse sèche sur terrain calcaire et marneux, exposés au soleil et à la pluie, sur un terrain en pente très douce aux alentours de 475 m d’altitude, dans une zone peu polluée.
Je vous envoie les photos d’un lichen et je vous demande d’abord de le décrire à l’aide de la fiche guide qui figure page suivante et que vous pourrez renvoyer à tous une fois remplie. Je vous suggère d’afficher les deux pages sur votre écran pour remplir la fiche guide.
Vous pouvez me poser toutes les questions que vous voulez, j’essaierai de vous répondre mais sachez que je n’ai pas de réactifs ni de bino et encore moins de microscope. Vous pouvez aussi communiquer par téléphone si nous ne sommes pas en visio.
Ensuite nous mettrons en commun les descriptifs et nous discuterons des différences constatées.
Enfin nous passerons à la détermination.
L’objectif est surtout de réviser les termes essentiels nécessaires à la détermination des lichens et de mettre l’accent sur les difficultés rencontrées. »
Résultats du travail :
cliquer sur la fiche pour faire apparaître le lien et cliquer sur le lien pour ouvrir la fiche en pdf
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Lichens de Haute-Maurienne (suite)
Koerberiella wimmeriana
sur galet cristallophyllien inondé, vers 2000 m.
voir la fiche de Jean-Michel (bulletin AFL 2008 – 2).
on distingue, à l’œil puis à la loupe à main, un thalle crustacé blanchâtre, avec des apothécies lécanorines à disque noir, et des isidies blanchâtres légèrement clavées.
photo Alain Millet : isidies en haut, apothécies en bas |
Parmelia saxatilis
sur rocher cristallophyllien, vers 2000 m.
on distingue, à l’œil puis à la loupe à main, un thalle foliacé verdâtre (K+ J, médulle blanche K+ J→R), pas d’apothécie sur l’échantillon mais de nombreuses isidies coralloïdes à sommet foncé, tellement serrées que le thalle parait noir dans sa partie centrale ; des pseudocyphelles sur les bords lobés du thalle.
Lecidea confluens
sur ce même rocher cristallophyllien, vers 2000 m.
on distingue, à l’œil puis à la loupe à main, un thalle crustacé aréolé gris blanc, des apothécies lécidéines noires, certaines très saillantes et fissurées ; en coupe au microscope, un épithécium vert réagissant N+ R, des paraphyses cohérentes, des spores simples incolores (8-9 x 4 ; 6,5 x 3 µm).
photo Alain Millet : apothécies et thalle |
Lecanora du groupe polytropa (alpigena-polytropa-stenotropa)
sur ce même rocher cristallophyllien, vers 2000 m.
on distingue, à l’œil puis à la loupe à main, un thalle crustacé aréolé beige avec des apothécies beige jaunâtre
photo Alain Millet : apothécies et thalle |
Rhizocarpon macrosporum
sur ce même rocher cristallophyllien, vers 2000 m.
on distingue, à l’œil puis à la loupe à main, un thalle crustacé jaune vif, à apothécies noires ; en coupe au microscope, un épithécium brunâtre K-, des spores murales ayant jusqu’à 20 cellules, de dimensions 28-43 x 11-17 µm
photo Alain Millet : thalle et apothécies | photo Alain Millet : spore au microscope |
Candelariella aurella subsp. aurella morpho. aurella
sur ce même rocher cristallophyllien, vers 2000 m.
on distingue, à l’œil puis à la loupe à main, un thalle crustacé formé de granules jaunes et des apothécies jaunes ; en coupe au microscope, un épithécium brunâtre, des spores biguttulées (12 x 5 ; 10 x 4 µm).
remarque : d’après le Catalogue de Roux, rarement calcifuge, plus communément calcicole.
photo Alain Millet : apothécies et thalle | photo Alain Millet : spores |
Présents : Alain B., Françoise D., Alain M. et Jean-Michel S (l’après-midi seulement)
Lichens sur l’écorce d’un tronc de saule marsault (Combloux – 74 – 1050 m)
1 – Physconia distorta : petit foliacé à lobes plats, étroits, bien appliqués sur le support, un peu tronqués au bout, de couleur brun-gris verdâtre, avec de la pruine blanche ; thalle verdissant à l’eau ; cortex supérieur K- (voir fiche)
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Physconia distorta – échantillon sec – photo AB | Physconia distorta – échantillon mouillé – photo AB |
2 – Physcia tenella : petit foliacé à lobes étroits, peu appliqués sur le support, gris-vert, à macules blanches, aux extrémités soulevées ; avec de longs cils marginaux blancs à extrémité noire et des soralies terminales labriformes ; cortex supérieur K+ jaune
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Physcia tenella – échantillon – photo AB |
3 – Physcia aipolia : petit foliacé en rosette, à lobes étroits gris clair, à macules blanches ; apothécies nombreuses à rebord concolore au thalle, épais et ourlé à l’état jeune, mince ensuite, à disque noir avec une pruine blanche abondante ; cortex supérieur K+ jaune ; médulle K+ jaune
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Physcia aipolia -thalle et apothécies – photo AB |
4 – Caloplaca cerina : thalle crustacé gris ; apothécies à disque jaune à orangé, plan et à rebord thallin (voir fiche)
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Caloplaca cerina – photo AB | Caloplaca cerina – photo AB |
5 – Lecanora sp : thalle crustacé peu visible ; apothécie à disque brun et rebord brunâtre très clair ; 8 spores par asque, simples, subglobuleuses (4×5 µm) ; paraphyses simples, facilement dissociées, à cellule terminale élargie. identification à reprendre et terminer
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apothécies – photo AB | asque et paraphyses – coupe AM – photo AB |
Lichen sur granite (bloc erratique utilisé dans un muret) à Combloux – 74- 1100 m
On réexamine ce lichen identifié par FD comme S. hypophaea, repris par JMS et décrit dans le bulletin de l’AFL 48-1 comme S. oceanica, vérifié par Michel Bertrand comme S. hypophaea
6 – Sarcogyne hypophaea : crustacé, sans thalle visible ; à apothécies bien visibles mais petites (<1 mm de diamètre), à rebord noir, à disque rougeâtre à noirâtre (détermination M. Bertrand)
Lichens de Haute-Maurienne (suite) carrière du Paradis
7 – Thalloidima diffractum (et non rosulatum comme dit dans un premier temps) :
sur terrain calcaire ; exposition à tous les temps ; étage alpin.
thalle terricole, squamuleux, mal délimité ; squamules globuleuses, serrées ou dispersées, blanchâtres, à surface hérissée ; apothécies noires mais couvertes de pruine leur donnant un aspect gris un peu bleuté, plus ou moins serrées et déformées, à rebord propre, à disque plan puis boursouflé ; spores fusiformes (2 mesures : 15×5 µm ; 20×3 µm)
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Thalloidima diffractum – thalle – photo FD | squamules et apothécies – photo FD |
8 –Rusavskia elegans subsp elegans (ancien nom Xanthoria):
sur galet cristallophyllien ; exposition à tous les temps ; étage alpin
thalle petit foliacé, orangé-rouge, à lobes étroits, boursouflés, maculés ; dessous blanc à haptères
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Rusavskia elegans – thalles – photo AB | Rusavskia elegans – thalle, CT et haptère – photo FD |
Présents : AB, MD (matin), FD, GR (matin), JMS
Commentaires sur le compte rendu en ligne, les fiches en lien et des échantillons.
Présentation du bulletin avec l’article sur l’indice de déterminabilité : ID 1 et 2 sur le terrain (à l’oeil nu – avec loupe à main et/ou coloration) ; ID 3 et 4 au labo avec bino et microscope (observation facile-préparation délicate) ; ID 5 avec des techniques pratiquées surtout par les chercheurs (microcristallisation ; CCM ; séquençage d’ADN…)
Précisions de vocabulaire : macules et pseudocyphelles ; soralies et sorédies ; squamules…
1-Evernia prunastri – voir la fiche
→ à ne pas confondre avec un Ramalina farinacea : bien voir la différence entre les deux faces du thalle chez Evernia (plus verdâtre dessus, plus blanchâtre dessous), la forme des soralies (farineuses et bien régulièrement ovalaires chez Ramalina farinacea, plus granuleuses et irrégulières chez Evernia), la réaction à K du cortex (chez Evernia K+ jaune bien visible sur du papier absorbant) : lichen reconnaissable sur le terrain avec un indice de déterminabilité 1 quand on sait bien discerner les différences de couleur entre les deux faces ou 2 s’il faut contrôler à la loupe à main la forme des soralies ou faire le test de coloration à K du cortex.
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Evernia prunastri – photo AB thalle dessus et dessous |
Evernia prunastri – photo AB coloration du cortex K+ jaune et soralies |
2-Parmelia sulcata s. l. – voir la fiche
→ bien regarder tous les échantillons, certaines parties plus jeunes n’ont qu’un réseau parfois peu visible de pseudocyphelles alors que d’autres parties sont nettement sorédiées ; dessous et rhizines noires s’apercevant nettement aux extrémités des lobes.
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Parmelia sulcata – photo AB dessus avec soralies et dessous |
3-Hypogymnia tubulosa – voir la fiche
→ ici c’est l’extrémité des lobes qui est déterminante et elle est variable : au départ le lobe parait gonflé mais il est fermé au bout qui est un peu brun (en coupe transversale on voit qu’il est creux), et ensuite il se couvre d’une soralie en capuchon qui finalement éclate ce qui donne au lobe une forme de trompette ; dessous ridé, foncé au centre, clair au bord, sans rhizine.
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Hypogymnia tubulosa – photo AB extrémité d’un lobe avec soralie en capuchon |
Hypogymnia tubulosa – photo FD dessous du thalle |
4-Hypogymnia physodes – voir la fiche
→ même thalle gris que le précédent mais l’observation de l’extrémité des lobes permet de séparer les deux espèces : ici les soralies sont labriformes (= en forme de lèvre), la partie supérieure du thalle se retrousse un peu et on voit les sorédies granuleuses dessous ; confirmation par l’action de P sur les soralies : P+ orangé-rouge chez physodes, P- chez tubulosa.
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Hypogymnia physodes – photo AB lobes jeunes (à gauche), soralies sous les lobes relevés (à droite), coloration P+ rouge de la médulle |
Physcia caesia
Umbilicaria umbilicaria var. tornata
5- n° 60 Parmelia saxatilis (G1) – présent dans les 73 et 74
Lichen saxiterricole, sur terrain acide. Thalle foliacé ; au centre brun foncé et couvert d’isidies de formes variées, blanches à la base mais à tête brun foncé ; sur les bords lobes visibles gris clair, à pseudocyphelles et isidies par petits groupes ; dessous noir à rhizines noires. Jusqu’à l’alpin.
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Parmelia saxatilis – photo FD dessus de l’extrémité d’un lobe |
Parmelia saxatilis – photo FD isidies couvrant totalement le centre du thalle |
6- n° 61 Umbilicaria decussata (G2) – présent dans les 73 et 74 – voir fiche
Lichen saxicole, calcifuge. Thalle ombiliqué monophylle, de couleur grise. Dessus réticulé, gaufré ; dessous clair au bord, noir au milieu (poussière de thalloconidies) autour de l’ombilic.
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Umbilicaria decussata – photo FD dessus du thalle |
Umbilicaria decussata – photo FD dessous du thalle |
7- n° 62 Thalloidima diffractum (G3) – présent dans les 73 et 74
Lichen terricole, sur terrain acide. Thalle squamuleux ; squamules grisâtres, plus ou moins globuleuses, dispersées : apothécies gris foncé. Spores fusiformes à une cloison (mesurées : 16 x 3 µm) ; épithécium K+ violet.
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Thalloidima diffractum – photo AB échantillon |
Thalloidima diffractum – photo FD apothécies gris foncé et squamules plus claires |
8- n°63 Physcia dubia morpho dubia (G3) – présent dans les 73 et 74
Lichen terricole, sur terrain acide, jusqu’à l’alpin. Thalle foliacé, petit, bien appliqué, gris clair ; lobes palmés à soralies terminales
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Physcia dubia – photo AB échantillon en mélange avec thalle jaune de Candelariella vitellina |
Physcia dubia – photo AB extrémité des lobes |
→ Prochaines séances non encore fixées ←
Présents : Alain B, Marcelline D (le matin), Françoise D, Françoise L, Gérard R (le matin), Jean-Michel S
Le matin détermination par Gérard et Marcelline de lichens corticoles (sur branchettes mortes d’épicéa – Plaine Joux commune d’Onnion (74) – environ 1400 m) :
1-Parmotrema perlatum
2-Pseudevernia furfuracea – fiche disponible sur le site
Alain B s’attaque à des lichens lignicoles d’une (vieille) terrasse en bois :
3-Candelariella vitellina
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Candelariella vitellina – photo AB échantillon |
Candelariella vitellina – photo FL asques et spores – CT d’apothécie |
4-Parmelia sulcata – fiche disponible sur le site
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Parmelia sulcata – photo AB échantillon |
Parmelia sulcata – photo AB détail du réseau de pseudocyphelles et soralies |
5-Physcia caesia – fiche disponible sur le site
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Physcia caesia – photo AB échantillon |
Physcia caesia – photo AB détail les lobes, apothécies et soralies |
6-Physcia tenella
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Physcia tenella – photo AB détail des cils, lobes et soralies |
7-Physconia distorta – fiche disponible sur le site
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Physconia distorta – photo AB échantillon |
Physconia distorta – photo FD rhizines sur la face inférieure |
A revoir Physcia aipolia ?
Françoise D, Françoise L et Jean-Michel poursuivent la détermination des lichens de Haute Maurienne :
8-n° 50 Psora decipiens (F1) – présent dans le 73 et le 74
Lichen terricole ou muscicole, calcicole ; C partout ; du mésoméditerranéen à l’alpin. Thalle squamuleux ; squamules plus ou moins arrondies ou déformées, dispersées ou contigües, rarement imbriquées ; de couleur rose saumon à bord blanc dentelé. Apothécies rares (absentes ici).
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Psora decipiens – photo FD échantillon |
Psora decipiens – photo FD squamules |
9-n° 51 Gyalolecchia bracteata (F1) – présent dans le 73 et le 74
Espèce déjà trouvée, voir n° 6, séance du 9/11/2022 – anciennement du genre Fulgensia. Lichen terricole, saxiterricole ou muscicole, du montagnard supérieur à l’alpin. Thalle crustacé, formé de granules jaunes lobulés.
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Gyalolecchia bracteata – photo FD échantillon |
Gyalolecchia bracteata – photo FD détail des granules |
10-n° 52 Rusavskia elegans subsp. elegans (F2)
Anciennement du genre Xanthoria – fiche disponible sur le site
11-n° 53 Seirophora contortuplicata (F2) – présent dans le 73
Anciennement du genre Teloschistes. Thalle fruticuleux ocre orangé, à lanières plates, ramifiées, tortueuses. Ici (comme souvent) en mélange avec Rusavskia elegans sur roche calcaire. Apothécies souvent absentes (c’est le cas ici).
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Seirophora contortuplicata – photo FD en mélange avec Rusavskia elegans (orangé) |
Seirophora contortuplicata – photo FD en mélange avec Rusavskia elegans (orangé) |
12-n° 54 Myriolecis crenulata (F2) – présent dans le 73 et le 74
Anciennement du genre Lecanora. Thalle endolithique sur calcaire (ici en mélange avec les deux lichens précédents) : seules les apothécies saillantes, éparses sont visibles et (heureusement) caractéristiques : bord thallin blanc, épais et crénelé ; disque gris-brun à noir avec une pruine blanchâtre ; spores simples 10-16 x 5-7 µm.
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Myriolecis crenulata – photo FD apothécies |
13-n° 55 Physcia dubia ? (F2) – à revoir
14-n° 56 Aspicilia cinerea (D5)
15-n° 39 Aspicilia caesiocinerea (D5)
16-n° 40 Rinodina mniaraeiza (D5)
Espèce déjà trouvée, voir n° 28 – anciennement sous-espèce de Rinodina mniaraea
17-n° 57 Lecidella patavina morpho. patavina (E2)
Détermination JMS
18-n° 58 Caloplaca crenulatella (E2) – fiche disponible sur le site
Détermination JMS
Remarques :
= JMS rapporte le n° 26 Rhizoplaca chrysoleuca
= JMS emporte le n° 59 Umbilicaria sp (D4) pour l’étudier en détail – à revoir à la prochaine séance